Sans le nucléaire, ne risque-t-on pas le blackout ?

Il n’est pas question de revivre le scénario de l’hiver 2018, où la quasi-totalité de la Belgique risquait de se retrouver à l’arrête car 6 des 7 réacteurs nucléaires étaient en panne en même temps.

Le gouvernement a avalisé la sortie complète du nucléaire pare que deux conditions préalables étaient remplies: le côté abordable (le coût pour le consommateur) et la sécurité d’approvisionnement.

Et justement, lorsqu’il s’agit de garantir la sécurité d’approvisionnement, la plupart des études indépendantes vont dans le même sens : avec ou sans sortie du nucléaire, voire même avec la construction de nouvelles centrales nucléaires, nous aurions eu besoin d’une production d’électricité flexible, à savoir les centrales au gaz.

Donc non, la lumière ne va pas s’éteindre en 2025!